On était à la Nuit Ciac, le 24 novembre 2018!

Allez, ça fait des mois qu’on l’attend, cette fiesta d’anniversaire des 7 ans des Ciac Boum. Un groupe qui ose un bal de 6 heures à lui tout seul, c’est un peu la classe à Dallas. Doublé d’une performance scénique qui présuppose une préparation de champion, ou un total défi aux limites du groupe : la nuit Ciac, c’est déjà Noël avant l’heure avec le réveillon en prime. Désormais, il y aura 2 camps: les 1000 happy few de la

Pibole, ou « l’éducation populaire m’a sauvé! »

Découvert il y a deux ans dans le cadre du festival de Bouche à Oreille, à Parthenay, pour sa première officielle, « Pibole » est un spectacle atypique et marquant. Pour tout un tas de raisons. Créé par Gérard Baraton, accordéoniste poitevin, il narre le parcours de l’adolescent qu’il était et sa rencontre avec un petit branleur, Pibole, incarné par Christian Pacher (Ciac Boum). Issus du milieu rural, de familles nombreuses, les deux gamins vont, par le biais de la maison des

Duo Huiban/Thébaut : Bretagne et Poitou jouent à saute-bouton

Les habitués des festoù-noz connaissent bien le premier par le swing élégant qu’il dispense dans des formations comme Skolvan, Wipidoup, Huiban/Becker (Kof ha kof), dans des projets comme Idéal Jazz ou en solo, les fondus de bal folk apprécient le second pour le plaisir qu’il prend et donne dans des approches aussi bien franchement folk que bien trad (Ballsy Swing, duo Thébaut…). Comme ces deux types de bal demeurent encore des univers peu perméables, le duo que forment Régis Huiban

Le festival Comboros, Saint-Gervais régénéré

Après de premières escapades en terre poitevine, on vous emmène un peu plus loin, jusque dans les parages de Clermont-Ferrand, pour un nouveau festival qui semblait prometteur et, de fait, ce premier week-end d’août a tenu ses promesses, et bien plus. Bienvenue dans les Combrailles, donc, pour une première édition particulièrement réussie et enthousiasmante. Un avertissement préalable, cependant : il va quand même être beaucoup question de bourrée, on vous aura prévenus… Saint-Gervais après Saint-Gervais A l’origine de Comboros, la fin