TrashTrad #013, le questionnaire à la con de Youen Bodros

Il ne porte pas de marcel, ne raconte pas de bêtises dans le micro, alors forcément, quand le duo Le Bour/Bodros anime une soirée, on aurait tendance (en dehors de toute considération musicale) à davantage prêter attention à son compère Timothée Le Bour… à tort. Youen Bodros, sous son air sage, a une capacité à faire marrer, à se moquer (gentiment, bien entendu), et à l’autodérision digne des plus grands. ………………………………………………………… La danse dont tu ne te lasses pas : la

Yaouank 2018 : vous y étiez, vous en parlez !

Comme ça avait donné des choses intéressantes l’année dernière et qu’on trouve que décidément ça a plus de sens d’avoir plein de voix différentes pour commenter un événement comme Yaouank plutôt qu’un seul avis, on a relancé la collecte des impressions des uns et des autres pour cette édition 2018. Encore trop peu de réponses pour avoir un panorama représentatif sans doute, mais des gens qui ont pris le temps de dire, insistant sur des aspects différents ou bien donnant

Alors, Yaouank 2018, c’était comment?

Comme l’année dernière, on se propose de collecter vos avis pour composer un article collectif sur ce qu’a été cette édition anniversaire du « plus grand fest-noz de Bretagne » (donc : du monde). Nous restons que ça reste plus pertinent qu’un avis isolé, tant les ressentis peuvent être variés, voire contradictoires dans la manière de vivre cette soirée de plus de 12h. On vous a laissé le temps de redescendre un peu, mais tant que c’est encore chaud, en vrai, vous

Pibole, ou « l’éducation populaire m’a sauvé! »

Découvert il y a deux ans dans le cadre du festival de Bouche à Oreille, à Parthenay, pour sa première officielle, « Pibole » est un spectacle atypique et marquant. Pour tout un tas de raisons. Créé par Gérard Baraton, accordéoniste poitevin, il narre le parcours de l’adolescent qu’il était et sa rencontre avec un petit branleur, Pibole, incarné par Christian Pacher (Ciac Boum). Issus du milieu rural, de familles nombreuses, les deux gamins vont, par le biais de la maison des