TrashTrad#004 : le questionnaire à la con de Timothée Le Bour

Parce que faire l’apologie de la cochinchine, jouer des tubes des années 1980 au saxo, réclamer plus d’ouverture des Bretons sur ce qui se fait ailleurs et sous-entendre que l’accordéon ne serait pas vraiment un instrument traditionnel, ça n’a pas de prix… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. La danse dont tu ne te lasses pas : A ton avis ?? La gavotte, bien entendu. La danse que tu regrettes de ne pas danser plus souvent : la cochinchine. La pire honte sur scène : un concert dans l’Est

On était à Bain-de-Bretagne, le 2 février 2018!

Quand une belle initiative avec du sens et du fond rencontre un gros succès, ça fait du bien ! Que dire d’autre de cette jolie soirée d’un vendredi au sud de Rennes ? En crise, en phase de repli, le fest-noz se recentre trop souvent sur les seuls acteurs militants de la culture bretonne. Il est donc heureux que d’autres associations se lancent dans cette forme de rendez-vous festif et populaire. C’était le cas avec ce partenariat entre deux associations d’aide et

On était à Notre-Dame-des-Landes, le 10 février 2018 !

Un grand rendez-vous festif comme il y en a eu tant d’autres, résolus, fraternels, sur le site du désormais défunt projet d’aéroport, cette fois avec cette particularité de laisser se vivre la joie d’une vraie victoire collective et plurielle au long cours, et de marquer une mobilisation forte pour ne pas lâcher sur ce qui s’est construit ici, dans la lutte, comme projets cohérents, viables et positifs pour la suite. Avec, comme à chaque fois et de puis le début,

On était à Coësmes, le 27 janvier 2018 !

L’année dernière, à la faveur d’un week-end un peu désœuvré et d’un courriel pertinemment adressé par les parties prenantes, j’avais traîné mes guêtres et accessoirement mon fils dans un bourg dont le nom et la localisation m’étaient jusqu’alors totalement inconnus… Mais savoir que le bal allait être mené par les sieurs Guichard, Guitton et Malaunay était pour moi une motivation suffisante pour aller me perdre dans un coin improbable. Je concède sans mal un à-priori plus que favorable quand à

Un an!

Un an, c’est-à-dire juste le début. Pas encore de dents (ça mordille déjà un peu, ceci dit), mais une frimousse en devenir avec déjà des traits affirmés, quelques promesses informulées par les parents de choses pour « quand on sera grand », bref un truc qui atteint son premier anniversaire. Et est content d’avoir duré jusque là. On peut dire qu’à certains égards, durer était déjà un objectif en soi. Il n’est pas dit que ça continue, mais on va tout faire