La sortie d’un disque, encore plus quand il s’agit du tout premier opus, est une occasion idéale pour réunir copains et amis et faire une belle fête. Stevan Vincendeau et Willy Pichard ont voulu célébrer la sortie de Nevolen comme il se devait. C’était à Plumieux le 20 mai. J’y étais ! Epaulé par le Collectif Viellistic et la grosse machine « Fête de la Bretagne », le duo avait tout prévu : un lieu convivial autour de la petite salle des fêtes de
Une envie d’exotisme à peu de frais ? De week-end chaloupé avec ou sans planche de surf ? Le festival Va y’Availles du bruit est fait pour vous ! Pour la deuxième année consécutive, la commune d’Availles-sur-Seiche (35), près de la Guerche-de-Bretagne, organise une événement pas comme les autres mais dont beaucoup devraient s’inspirer. Transformé en « Hawaï sur Seiche », le bourg devient la capitale bretonne de la chemise à fleurs et accueille avec bonne humeur et bonhommie tout un tas d’événements drôles,
Toute occasion est bonne pour organiser un fest-noz, mais c’est encore mieux si c’est pour la bonne cause ! Ce dimanche 30 avril, à Locoal Mendon, la soirée était organisée dans le cadre des Rencontres Internationales des Résistances aux OGM. On y était !
Entendons nous bien: par « appel » on n’entend pas « appel au secours ». Non non,tout va bien, on a de quoi faire en projets et en ressources pour écrire sur le site. Comprenez plutôt un appel du genre « eh oh, si vous voulez, c’est ouvert, vous pouvez entrer, vous êtes les bienvenus ». La liste des rédacteurs du site a commencé à s’étendre et ça va continuer, comme prévu. Mais comme c’était annoncé depuis le début, vous pouvez vous aussi contribuer à ce
Rendez-vous incontournable de mai, le festival En Arwen est un moment de rencontres, de danses, de musiques depuis des décennies, célèbre pour sa convivialité et cette ambiance chaleureuse assurée. Cette année, la nouvelle équipe bénévole avait eu une idée originale pour la soirée du samedi : le vintage noz. On y était !
Il est des groupes qui marquent de manière importante le paysage musical d’une époque. En dix ans d’existence, Gwenfol a marqué les années 1990, laissant une empreinte savoureuse que les danseurs n’ayant pas eu l’occasion de les voir sur scène rêvent de découvrir. Rencontre avec Yannig Noguet, un des fondateurs du groupe, avant les retrouvailles avec celui-ci samedi prochain pour le « vintage noz » du festival de Kleg.
Depuis quelques années, un rendez-vous annuel, humble et réussi, convivial et de bon goût, fait son nid en bordure rennaise. Cette année encore, donc, rendez-vous à Chantepie (35) pour le dernier week-end des vacances scolaires, avec une soirée qui n’a pas amené autant de monde que les années précédentes, mais honte aux absents! Elle était particulièrement chouette, qu’on se le dise!
La publication d’un nouveau disque (a fortiori le 2e, paradoxalement), c’est toujours un moment important pour un groupe, qu’il est fréquent de vouloir partager. Et dans la série « fest-noz de sortie d’album », celui concocté par le quartet Dour/Le Pottier promettait d’être mémorable. Le moins qu’on puisse dire, c’est que c’était réussi.
Il paraît que les forums de discussion ont fait leur temps. Que les réseaux sociaux en ont signifié la fin, évolution darwinienne des formes d’échanges et de partage. Que c’était, aussi, une source d’ennuis plus que de richesse, parce que trolls, parce que bas de plafond, parce que médisance sur les groupes, les organisateurs, les sonorisateurs, etc… IciBal! veut croire, nonobstant cette évolution, qui n’est ni une fatalité ni un progrès, que ça peut valoir le coup de retenter un
Très largement prédominante en bal traditionnel en Bretagne, cette idée de ce qu’est une danse traditionnelle constitue pourtant sans doute, aujourd’hui, un des obstacles à sa survie. Déjà critiquée en 1963 par J.-M. Guilcher dans sa thèse1, la conception unitaire de la danse consiste à considérer chaque version comme une danse à part entière. Oui, on invoque Guilcher dès la deuxième phrase, sans aucune vergogne. ↵
