Comme ça avait donné des choses intéressantes l’année dernière et qu’on trouve que décidément ça a plus de sens d’avoir plein de voix différentes pour commenter un événement comme Yaouank plutôt qu’un seul avis, on a relancé la collecte des impressions des uns et des autres pour cette édition 2018. Encore trop peu de réponses pour avoir un panorama représentatif sans doute, mais des gens qui ont pris le temps de dire, insistant sur des aspects différents ou bien donnant
En mars, débute une opération éclair mais de grande envergure. L’objectif : s’attaquer à un des points qui font douter de la pérennité systématique du fest-noz, à savoir la baisse de fréquentation relevée depuis une dizaine d’années chez les tranches d’âge les plus jeunes. Tamm-Kreiz mûrit depuis plusieurs années un projet d’action ambitieuse en termes de sensibilisation et de séduction des nouvelles générations. Teaser vidéos à destination des réseaux sociaux, festoù-noz et showcases dans les lycées avec des groupes aux esthétiques
Quand une belle initiative avec du sens et du fond rencontre un gros succès, ça fait du bien ! Que dire d’autre de cette jolie soirée d’un vendredi au sud de Rennes ? En crise, en phase de repli, le fest-noz se recentre trop souvent sur les seuls acteurs militants de la culture bretonne. Il est donc heureux que d’autres associations se lancent dans cette forme de rendez-vous festif et populaire. C’était le cas avec ce partenariat entre deux associations d’aide et
Deuxième victime consentante passée à la moulinette du questionnaire à la con (mais pas tant que ça, en fait) : l’accordéoniste Nicolas Rozé. Il sera question de gavotte au yaourt, de Louise Attaque, de tube de l’été vintage et de chouchenn en soirée étudiante. Il n’est pas impossible que le mot « avant-deux » soit proféré également, vous êtes prévenus. ………………………………………………………………………………………………………………………………………… La danse dont tu ne te lasses pas/que tu regrettes de ne pas danser plus souvent : L’avant-deux à la mode de
Qui a dit que les festoù-noz d’été, c’était pourri (a fortiori en Ille-et-Vilaine) ? Contre cette forme de fatalisme parmi d’autres, l’association Mil Goul a organisé à Chauvigné une soirée absolument formidable, et on était bien contents d’y être ! Chauvigné, donc, le rural profond comme on dit trop souvent avec mépris, et presque déjà la Normandie. Il faut en vouloir pour faire vivre le pays, y injecter des propositions culturelles sans prendre le bouillon ou se désespérer, vous diront certains organisateurs.
